dimanche 29 juin 2014

Fin du voyage : Bergen - Copenhague - Paris CDG - Brest les 14 et 15 Juin 2014

Aujourd'hui c'est le retour. Grand soleil à Bergen. Non, je ne redirai pas ce que l'on est sensé dire sur le pot de chambre de la Norvège, où il pleut 300 jours par an. Nous on était là durant 3 des 60 jours restants , nananère !

Départ à 10h30 de notre hôtel, juste bien pour une nuit. Toutefois, vu les objectifs, cela suffisait bien. Bus to the airport, sous un soleil radieux. Les Norvégiens sont heureux de nous offrir leur soleil pour que nous puissions les regretter (ce qui sera le cas, bien sûr).
Les différentes formalités se passent comme qui rigole, notamment note à ceux qui ont perdu leur carte d’identité dans le vent de Norvège, ou ceux qui ont laissé tomber leur passeport dans l'eau : pas d’inquiétude les gens, surtout pas d'inquiétude. Personne, que ce soit à Bergen, à Copenhague, ou même à Paris, n'était intéressé par une vérification d'identité. Surprenant pour qui vient d'un voyage en Amérique du Nord. La coke pousse plutôt mal dans les fjords, notez bien, et qui a déjà goûté l'aquavit sait que c'est plutôt une bonne action d'en piquer une bouteille aux Norvégiens, pour leur éviter d'être malades. Sous cet angle d'approche, on comprend mieux l'absence de contrôle. Il y a bien les pulls, mais c'est plutôt du marketing que l'on va faire en les portant, donc tout le monde y gagne.

On écume discrètement les zones de magasins aéroportuaires de Copenhague, après avoir quitté la Norvège dans le calme. Ma foi, pas grand chose à chiner. Courageusement, je refuse de m'arrêter pour voir les montres, dans le magasin que j'avais visité en Juillet 2013. Le magasin LEGO est nullissime, par rapport à la caverne d'Ali Baba découverte à Bergen.

Vol CPH-CDG un peu en retard, à la grande honte du commandant de bord, qui s'excuse platement. SAS est toujours à l'heure, d'habitude. Va, on pardonne, on est tellement habitués à Air France et à ses retards de deux heures sans commentaire.  A Paris, les valises arrivent même à être livrées à l'heure prévue, et sans trop lambiner, ce qui est plutôt un miracle. Surtout que le lendemain, ce Dimanche 15, les manutentionnaires sont en grève. Parfois on a du bol. Adieux déchirants à la bande de voyageurs, spéciale dédicace à Agueunesse, notre guide dévouée et pertinente. Enfin Agnès quoi, l'autre appellation étant la prononciation scandinave du prénom, utilisée par Peter, le manager touristique et comparse distrait de la croisière. Merci Agnès, ce voyage nous donne très envie de recommencer l'aventure, et c'est en partie grâce à vous  ;-)

Go la ouature, qui attend sagement, et qui va nous emmener à Brest. Via Le Havre, d'après le GPS utilisé pour quitter la région parisienne, ce qui entraîne un moment de confusion et de flottement dans l'habitacle. On visite un peu la banlieue ouest et chic, puis après avoir refait le plein d'énergie, avec un petit repas gastronomique au Mac Do de la route (moins joli que celui de Bergen), le chemin nous attend jusqu’à Brest, où l'on finira par arriver sans incident, un peu matinalement, mais c'était le projet.

Devanture du Mac Donald de Bergen ... Ça donne envie d'une grande frite !

La maison n'a pas brûlé, les chats vont bien, les instruments à laver le linge sont fonctionnels, et nous avons plein de rêves dans la tête. Le sol oscille encore un tout petit peu sous nos pieds, juste pour se rappeler le mouvement marin vécu pendant 13 jours.

Conclusion : merci à vous, qui nous avez aidé à faire ce voyage. Ne quittez pas le blog tout de suite, j'ai l'intention de l'enrichir pour qu'il reste la trace de notre merveilleux séjour le long des côtes norvégiennes. Et puis, si nous sommes aussi motivées que Paul de Quimper, nous referons des croisières, et ce ne sera que le premier chapitre de nos aventures avec Hurtigruten. D'ailleurs Murielle a déjà fait les démarches pour que nous puissions nous inscrire comme membres du programme de fidélité !!!

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire