samedi 31 mai 2014

Paris Le Pré Catelan

Aujourd'hui, fleuron de notre première étape, un joli cadeau de Noël en attente depuis 2012, mais d'autant plus attendu et forcément particulièrement apprécié.

Un moment de rêve gastronomique et un très bon moment en famille dans un lieu chaleureux et convivial. Un trois étoiles où on se sent bien accueilli et à l'aise. Le Pré Catelan, avec son chef Frédéric Anton, le MOF au coeur tendre... Au fait Murielle l'a vu trois fois, et Alain et moi deux. Il est timide, et joue à cache-cache avec sa clientèle, en entrant et sortant de sa cuisine en catimini. la troisième fois, la table entière s'est retournée d'un seul homme. Et, pas dupe de notre manège, le Maître a souri, amusé de notre admiration bruyante...


L'extérieur est top classe, entre les belles filles des sentiers du bois de Boulogne, et les maisons huppées de Saint Cloud . De jolis bâtiment en plein bois, au calme. Le chasseur fait très Maxim's, mais il n'a pas l'accent parisien, ni même de chez nous. D'où ? La question reste posée. De même l'accueil se fait en français, avec enthousiasme et respect, mais avec un accent de l'Est, pas de la France ;-)

Extérieur Jour

 

Le menu découverte semble fort fort copieux. Il va falloir assurer sur la durée, et pas trop forcer sur le chablis 2010, un vrai délice (surtout notre chauffeur, hein SVP ? Merci de nous permettre l'excès...)

 

Vue sur les convives ...

 

 

Mise en bouche légère et pleine de saveurs, avant le vif du sujet. Entrées autour du crabe et de la langoustine. On se régale avec concentration et jubilation.

 

Plats de résistance, mi poisson avec le turbot aux algues et sa purée (par le roi de la cuisine de la PDT, hein Freddy ?), mi viande avec le veau (joue aux asperges et ris aux girolles, un vrai délice).

Une fois ce sommet passé avec bonheur et succés, voilà la dernière ligne droite des fromages et desserts qui s'annonce. Votre servante a été très modérée avec les fromages, juste un gruyère suisse de 2012, et un peu de coulommiers, les deux inoubliables forcément. Car le citron m'attendait (mousse légère, sorbet au basilic, crème au citron, croquant au fond du verre et les petites meringues sur le dessus). Dans cette étape, c'est la gourmandise qui me guide, pour arriver à envisager de finir. Cela aurait été bien trop difficile d'en laisser.

 

Le gâteau au chocolat amer, très peu sucré, se goûte uniquement gràce au café. Tout est étudié, et cette perfection visuelle et technique va permettre à l'estomac d'oublier le reste.

 

Pour les mignardises, désolée, c'est trop tard ...

Au total, un moment d'exception dans un cadre exceptionnel. Trois étoiles qu'on ne discute pas une seule seconde. Et les pauvres candidats de Masterchef ont certainement bénéficié de l'indulgence du maître, manifestement on ne jouait pas dans le même monde.

Ce soir, Badoit Yaourt (ou même pas yaourt ;-) )

 

vendredi 30 mai 2014

Étape 1 : Brest - Paris

Ce matin, temps norvégien Lofoten du Nord, à savoir gris et pluvieux.


Quelques bagages, préparés sous l'œil navré de Bérénice.


Hop on enfourne, et vogue la galère, enfin roule ma poule.


Après presque 500 km, on arrive presque sous les tropiques :-)))


On squatte chez Papylou, jusqu'à Dimanche. Pour l'instant c'est tennis de table au fond du jardin, deuxième tour du Rolland Maurepas...


jeudi 29 mai 2014

Les Lofoten 2009 : une belle aventure

Quelques photos pour attendre Lundi prochain et Bergen







Guilers Les Valises


Liste à la Prévert ...
Qu'a t'on oublié que l'on ne devrait pas ...

  • Les pulls ? OK
  • Les maillots pour le jacuzzi ? OK
  • Les jumelles ? L'appareil photo ? OK
  • Les e devices ? OK OK

Reine en 2009
Et les souvenirs du précédent passage vont guider notre retour..
La ballade à Reine le 15 Août 2009 sous une certaine pluie et brume, au cercle polaire arctique des Lofoten.







Bon on range tout dans les sacs et on se prépare...